Sondage

Pour ce sondage, j’ai eu une population de 469 personnes. J’ai donc pris le temps d’analyser chaque réponse. Les résultats sont :

Parmi la totalité de la population, 66,1 % des personnes savaient ce qu’était la dyscalculie. En prenant en compte le fait que nous devons avoir confiance en la parole des participants.

Dans ma deuxième analyse, j’ai pu constater que parmi les femmes, 27,67 % d’entre elles ne savaient pas ce que signifiait le terme dyscalculie contre      45,56 % chez les hommes.

J’ai pu constater que plus on « monte » de catégorie d'âge et plus les personnes sont conscientes de ce qu’est la dyscalculie. Je pense que c’est dû au problème du manque d’informations des jeunes comme nous en parlons beaucoup en ce moment. Ils sont très connectés mais n’ont plus forcément de plaisir à se cultiver. 

Les trois premières choses qui ont permis aux personnes de savoir ce qu’était ce trouble ont été : l’entourage avec 32,8 %, les études avec 25 ,2 % et grâce au métier pratiqué avec 22,6 %. Internet est la quatrième raison avec 8,4 %. Le reste des personnes ayant répondu au sondage à l’aide de l’option "autre" m’ont informé qu’ils avaient soit décomposé le mot de façon logique ou qu'ils étaient eux-même dyscalculiques.